Le delirium du papillon
« Un matériau infiniment poétique et drôle, qui convient parfaitement à l’art du clown. Sensible à la profonde humanité de ces marginaux, à leur souffrance, mais encore à leur sincère besoin d’amour, Typhus Bronx nous émeut. L’innocence féroce de son personnage nous attendrit. Elle nous fait rire, également, jusqu’à l’hilarité. […] Ce clown caustique fait donc davantage que nous brusquer. Il nous bouscule. »
Léna Martinelli / Les 3 coups
« Troublant, « Le Delirium du papillon » cache derrière son rire de clown le vrai drame des solitudes des internés. Revenu d’un combat interne féroce avec tous ses fantômes, Typhus Bronx finira par sortir de sa chrysalide pour se métamorphoser devant nos yeux presqu’étonnés… en un comédien charmant et radieux saluant un public enthousiaste et conquis. »
Sarah Autheserre / Radio Culture 33
« En équilibre au-dessus des abîmes – l’enfance éternelle des fous, l’intelligence sournoise des psychopathes, la hargne des affreux (sales et méchants) – le funambule aliéné cherche une occasion d’envol, un gage de légèreté : des ailes de papillon. On veut croire avec lui qu’il finit par les trouver.
Un spectacle blanc sombre : synthèse chromatique, on le sait, de toutes les couleurs du spectre. Une vaste, réjouissante et triste – clownesque en un mot – quête d’évasion. »
Manon Ona / Le clou dans la planche
La petite histoire qui va te faire flipper ta race (tellement qu’elle fait peur)
« Une interprétation toujours impeccable et un texte diaboliquement efficace, cette nouvelle création tient toutes ses promesses, et même plus… »
Open Agenda / Toulouse
« L’artiste déjanté joue avec les peurs des spectateurs. Un show étonnant, sanglant, mais surtout délirant. […] Typhus Bronx ressemble fort au genre d’enfant terrible qui arrache les ailes des mouches avec la pince à épiler de ses parents. »
Yvan Plantey / Sud Ouest
« De détours emportés en divagations effervescentes, c’est dans la fragilité de fêlures sensibles que se déplie le tragique, qu’éclatent les chairs, que se défont les relations, que se déploie une histoire qui prend vie et consistance. […]
Touchant les extrêmes entre cruauté et innocence, gestes maladroits et actions spontanées, Typhus navigue sans filtre et nous attire dans une histoire où les frontières entre fiction et réel se brouillent jusqu’à se confondre. »
Cynthia Brésolin / Reg’arts